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 La civilisation et l'agriculture de défrichage examinées

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Oscar
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Oscar


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MessageSujet: La civilisation et l'agriculture de défrichage examinées   La civilisation et l'agriculture de défrichage examinées EmptyMer 30 Nov à 21:28

Traduction d'un message posté le Mer 30 Nov à 0:23 par Michael

L'agriculture, cultiver des champs, est ancré pour la majorité d'entre nous comme la meilleure façon pour les humains de vivre sur Terre. Qu'elle soit biologique ou non me semble sans grande différence quand je lis des textes comme celui-ci...

Citation :
De : Douglas Jack eco-montreal@mcgill.ca

ALIMENTS DES VERGERS – RENDEMENTS DE LA PRODUCTION
PRINCIPES POUR OPÉRER UNE TERRE RECOUVERTE DE FORÊTS


Seulement la section A a été retranscrite plus bas. Veuillez écrire à l’auteur pour obtenir le texte intégral.


A. FORÊTS-VERGERS À NIVEAUX MULTIPLES

LES RESSOURCES ALIMENTAIRES DÉTERMINENT LA CIVILISATION
Nous renouvelons constamment notre relation avec les autres et avec la terre à travers la nourriture. Notre vision de la civilisation (dérivé du latin civis, « gens de la ville ») et le débat sur l’écologie sont basés sur une vision du monde occidentale, qui ennobli le modèle occidental d’agriculture basée sur le défrichement de la terre en tant que système de production alimentaire le plus avancé et efficace. Bien que les généralisations ne soient pas justes, contrairement aux mythes engendrés par les peuples défricheurs, les Peuples Indigènes ont souvent vécu dans de grandes cités. La nourriture indigène est souvent délibérément récoltée dans une diversité de vergers et terrains à niveaux multiples, qui prospèrent dans des communautés souvent densément peuplées. (Les forêts boréales et les communautés arctiques demandent une analyse écologique séparée.)

Généralement, les peuples défricheurs coupent les arbres pour faire place à des cultures de céréales (blé, orge, avoine, seigle, etc.) et de légumes. Les protéines dans l’alimentation des peuples défricheurs proviennent d’animaux domestiques nourris de foin et de glucides provenant des céréales ou de légumes-racine. Les pionniers sont fiers de défricher la terre pour l’agriculture et l’habitation humaine. Mais une analyse comparative de la productivité nous permet de constater que les pionniers rasent les vergers à dimensions multiples par ignorance des ressources vitales multidimensionnelles et de la planification tridimensionnelle. Nous pouvons conclure que la planification des ressources vitales dépasse la capacité mentale du penseur colonial militarisé.

Toute notre science, nos systèmes d’éducation et tous les champs d’étude posent l’agriculture sur terrain défriché comme fondement de notre système économique. Nous nous imaginons au sommet de l’évolution des espèces. La culture sur terrain défriché et la sécurité qu’elle est supposée nous assurer sont considérées comme le fondement de tout notre bien-être. Il y a un retour d’information entre la production et la réalité qui est totalement absent de cet « ordre naturel » colonial.

DESTINÉE MANIFESTE
La notion même de civilisation telle que comprise dans les traditions occidentales est fondée sur le développement de l’agriculture en Mésopotamie, dont le modèle s’est répandu au Moyen-Orient, en Égypte, en Grèce, à Rome puis en Europe. Dans les Amériques, nous étudions un savoir-faire historique provenant de la Grande-Bretagne (Amérique du Nord), de la France (Québec), du Portugal (Brésil) et de l’Espagne (Amérique Latine). En tenant compte de cet univers d’influences historiques, ces interprétations nationales sélectives de l’Histoire ou de la « destinée manifeste » représentent la vision du monde dominatrice des colonisateurs, requise par l’agriculture sur terrain défriché.

Tous nos calculs sur la production alimentaire, les bienfaits de l’industrialisation, l’utilisation de l’énergie, le transport, la démocratie dans le sens occidental du terme, la politique étrangère, la recherche scientifique traditionnelle, l’éducation et la guerre sont basées sur les avantages comparatifs de notre système, supposément obtenus grâce à notre agriculture et à notre élevage avancés.

Ces avantages sont considérés comme des forces de notre domination « évoluée », qui a supposément amené l’unité nécessaire pour le progrès. Il est présupposé que sans cette unité imposée, il aurait été impossible d’atteindre une masse critique de gens travaillant ensemble pour leur bénéfice mutuel.

En même temps, la civilisation se vante de promouvoir des échanges équitables, un contrat social et des relations sociales qui ne sont pas basées sur la force. Néanmoins, la contradiction de la violence utilisée pour soumettre les peuples indigènes et autres est généralement justifiée par l’idée que l’efficacité économique et ses bienfaits pour tous demande que nous continuions à asservir la nature et les citoyens à tout moment.

LE DÉPLACEMENT DES PEUPLES DES VERGERS
Lorsque nous défrichons la terre, les peuples indigènes sont chassés et les plantes et animaux indigènes sont déplacés. Couper la forêt altère le climat et élimine la capacité de la terre à retenir l’eau, la capacité des plantes à créer de l’humidité atmosphérique, la stabilité du sol assurée par une couverture végétale permanente, la capacité d’absorption de la lumière du couvert forestier, la création d’abondance et de refuges par l’espace forestier, l’abondance de produits des arbres et d’autres formes de vie, la capacité de calmer les vents et modérer le climat.

La destruction des dons de la nature mène les défricheurs de terre à adopter des solutions mécaniques de toutes sortes pour régler les problèmes d’irrigation, de difficultés respiratoires, d’abri contre le soleil et la pluie, de vêtement, de santé, de conflits, de transport et d’énergie, solutions qui à leur tour ont eu toutes sortes de conséquences.
L’asservissement progressif et l’élimination des peuples indigènes, entrepris il y a 6000 ans, ont été une période de grand changement pour les peuples de la terre. Observons la façon dont nous concevons cette période, la période subséquente, quelques faits scientifiques et nos présupposés.

Il y a 6000 ans, la Mésopotamie était couverte, de même que la Perse, Israël, l’Égypte, l’Afrique du Nord, la Grèce, l’Italie, l’Europe et les Amériques, par de vastes forêts-vergers. Les peuples indigènes vivant dans ces forêts jouissaient d’une productivité forestière sûre, durable et énorme de noix, graines, fruit, légumes-feuille, animaux, plantes complémentaires poussant au sol, légumes divers, baies, champignons, algues, poissons, mollusques, eau et plantes aquatiques.

La productivité des forêts-vergers indigènes est légendaire et constitue toujours une ressource d’appoint pour les peuples exogènes (grec pour « engendré au dehors ») depuis. Nous échouons continuellement à satisfaire nos propres besoins de base à partir de nos propres ressources productives exogènes, et dépendons de l’exploitation de l’écologie en voie d’épuisement du tiers-monde pour assouvir nos désirs économiques de pays industrialisés.

« SYLVALISATIONS » (dérivé du latin sylva, qui veut dire bois ou forêt)
De grandes cités ont existé dans les forêts-vergers indigènes d’Australie, d’Afrique, d’Asie et d’Amérique du Sud, Centrale et du Nord. Ces sylvalisations ont possiblement existé sur des périodes de millions d’années. Quand Colomb est arrivé en 1492, le continent américain abritait les plus grandes cités du monde. Durant sa conquête de Tenochtitlan, des 350 000 habitants de la ville insulaire de Mexico et des 29 millions d’habitants de la Vallée de Mexico, Cortez décrit la propreté de ses eaux et de ses rues. À travers le monde, les systèmes indigènes d’écriture pictographique ont été détruits par des épidémies, l’incendie des bibliothèques et les guerres d’expansion exogènes. Les traditions historiques orales, qui complémentaient les pictogrammes et impliquaient des conteurs spécialisés possédant des milliers d’années de savoir historique de la communauté, ont été perdus à travers cette dégradation sociale. Dans la génération de nomades banlieusards télévores d’aujourd’hui, la mémoire historique relative à la famille et à la communauté ne survit q’une génération (environ 30 ans).

La propagande des nations dépendantes d’une agriculture basée sur le défrichement de la terre dénigre l’époque indigène comme étant une époque « sauvage » (dérivé du latin qui veut dire « peuple de la forêt »). Ce que nous savons de cette époque est filtré par une vision des mondes propres aux peuples défricheurs selon laquelle les peuples de la forêt étaient barbares, brutaux, primitifs et sous-alimentés à cause d’une production alimentaire inconstante souffrant des caprices de la nature.

PRODUCTIVITÉ COMPARÉE
J’ai été propriétaire d’un verger de 10 acres durant les années 70, j’ai travaillé dans des vergers et fait pousser des aliments pendant 34 ans. J’ai travaillé dans le réseau Natural Food, vécu et travaillé avec des peuples indigènes pendant 37 ans. Dans le monde occidental, nous ignorons qu’une agriculture basée sur le défrichage et la production céréalière est dix fois, 10 X, 1000% moins productive en termes de protéines, de glucides et d’autres ressources alimentaires qu’une culture en vergers de noix, graines et fruits basée sur un héritage de millions d’années toujours honoré par les Nations Indigènes. Si nous tenons compte de la production d’autres aliments, de logements, de vêtements, d’animaux, de chaleur et de produits de santé, nous comprenons que l’agriculture de défrichage basée sur la production céréalière est cent fois, 100 X, 10 000% moins productive que la forêt-verger.

Aussi longtemps que nous, Occidentaux, aurons une mentalité ethnocentrique (chauviniste) et une fixation sur notre société de défricheurs post-Indigène et exogènes, nous ne comprendrons jamais comment la terre, le soleil et la culture humain interagissent. On nous a enseigné à dénigrer cette époque (l’époque indigène) comme étant improductive et nous n’avons ainsi jamais considéré ses forces.

LE CALCUL DU VOLUME DES RÉCOLTES
Beaucoup de sortes communes de noix sont comestibles et peuvent jouer un rôle dans notre bien-être. Si vous voulez avoir une idée de combien sont productifs les arbres, allez dehors et calculez la production de graines d’un érable. Les graines d’érable sont effectivement comestible après avoir subit certaines transformations. Je ne recommande pas de manger des graines d’érable, bien qu’elles soient savoureuses lorsqu’elles sont correctement germées et transformées. Le but de ce calcul est d’estimer la production d’un vaste couvert forestier parce que, en termes de productivité, des couverts forestiers différents (chênes pour les glands, noyers, noisetiers et autres arbres producteurs de noix) sont similaires. Comparez ce volume avec ce que vous avez constaté des champs linéaires de blé, orge, seigle, avoine, sarrasin et maïs. Notre expérience en culture céréalière suggère un volume de récolte dix fois moindre.

À PROPOS DE L’AUTEUR
J’ai été propriétaire d’un verger à Deer Park, sur le Arrow Lake en Colombie-Britannique, durant les années 1970. J’ai vécu et travaillé dans des vergers (pommes, pêches, cerises, poires, prunes, noisettes, noix de Grenoble, vignes) du West Kootenay, et dans des fermes céréalières en Ontario. J’ai travaillé dans les réseaux provinciaux de la Natural Food Co-operative - Vente en Gros et Détail pendant 15 ans en Colombie-Britannique et au Québec.

J’ai jardiné bio depuis 1971 dans l’Idaho, en Colombie-Britannique et au Québec en suivant l’enseignement de gens qui retournent à la terre, de Doukhobors, de Mennonites et de voisins de toutes sortes, de même qu’en lisant le magazine Organic Gardening. J’ai fait la conservation (cannages, marinades, dans du sucre, salaisons) de fruits et légumes, j’ai construit des séchoirs à aliments, que j’ai opérés dans des vergers et des marchés publics. J’ai cuisiné pour de larges groupes de personnes pendant que je plantais des arbres.

J’ai planté au dessus de 100 000 arbres dans des projets de reforestation. J’ai passé ces décennies à étudier et faire la cueillette de fruit et plantes sauvages, certains arboricoles. J’ai encouragé des espèces sauvages à pousser et à produire plus avec du compost, du paillis, de l’eau, etc..

J’ai voyagé intensivement à vélo (remarquant les détails du paysage) dans les fermes de Californie, d’Oregon, de l’état de Washington, d’Idaho, du Montana, du Vermont, du Québec et de l’Ontario. Pendant ce temps j’ai fait la cueillette d’amandes, de loquats, de pignons, de figues, de dattes, de figues de Barbarie et de 60 autres produits arboricoles. J’ai fait du pousse (questionnant les automobilistes) plus loin encore et j’ai vécu dans différentes communautés du Nouveau Brunswick, de Nouvelle-Écosse, du Maine, du New Hampshire, de l’état de New York, faisant le tour du Canada et des États-Unis maintes fois.

Ce que j’ai constaté c’est que le volume récolté dans les arbres des vergers (trois dimensions) dépasse de beaucoup celui des cultures bidimensionnelles et céréalières. La différence peut être comprise en comparant combien de fruit et noix sont produits sur une surface bidimensionnelle et combien de fruits, graines ou noix sont produits dans un espace de récolte tridimensionnel. Les estimés que j’ai produits à partir de mes propres observations et qui apparaissent dans la littérature produite par l’UNESCO montrent que la récolte, en termes de glucides et de protéines, en terrain à multiples niveaux est dix fois supérieure à celle sur terrain défriché. J’ai également pris conscience que nos vergers de monoculture, bien qu’ils soient plus productifs qu’un terrain plat, n’approchent pas de la productivité d’une forêt-verger gérée avec soin comme en entretiennent encore de nos jours un nombre limité de communautés des Premières Nations.
Texte de Douglas Jack, traduit de l'anglais par Oscar Chica


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MessageSujet: la civilisation et l'agriculture de défrichage examinées   La civilisation et l'agriculture de défrichage examinées EmptyJeu 1 Déc à 18:08

!!!


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MessageSujet: Re: La civilisation et l'agriculture de défrichage examinées   La civilisation et l'agriculture de défrichage examinées EmptyVen 2 Déc à 10:20

Merci, Michael et Mickaël, d'avoir partagé vos découvertes. J'aimerais moi-même partager une découverte qui, je crois, s'inscrit bien dans cette discussion.

Il y a quelqes semaines, lors de mon voyage à Victoriaville pour le 5e Rendez-Vous Bio, j'ai traversé en autobus voyageur les paysages agricoles entourant St-Hyacinthe. Nous autres, citadins et banlieusards, entretenons souvent une vision romantique de la campagne. Nous imaginons la campagne comme un milieu de vie bucolique, où les gens vivent près de la nature dans des petits villages pittoresques et sur des fermes où broutent paisiblement des vaches...

Ce que j'ai vu de la campagne québécoise au Sud de Montréal m'a grandement troublé. Des monocultures à perte de vue. La terre presque nue, à peine recouverte d'une mince couche de végétation plutôt chétive. Ici et là, quelques silos et autres bâtiments d'allure industrielle, et presque aucun arbre. Des villages pittoresques ? Non ! Plutôt des petites villes d'allure industrielle et banlieusarde qui se ressemblent toutes. La campagne aménagée comme une immense usine à ciel ouvert.

Par la fenêtre de l'autobus, je contemplais ce paysage, et une sorte de frayeur s'est emparée de moi. J'avais l'impression de contempler un paysage dévasté, désertique. J'ai ressenti que cette terre était à l'agonie. Cette frayeur n'a commencé à se dissiper qu'en approchant de Victoriaville, dans les Bois-Francs, là où les fermes sont plus petites, plus espacées, et où la forêt commence à reprendre ses droits.

Il y a une violence inouïe dans notre agriculture de défrichage, bio ou pas. Nous rasons les écosystèmes que nous trouvons pour faire place à un esclavagisme de la terre. Le seul réconfort que je trouve aujourd'hui, c'est de savoir qu'il reste encore des paysans soucieux de renouer, au nom de nous tous, avec la nature.
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Mickaël PaysanBioFrancais
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MessageSujet: La civilisation et l'agriculture de défrichage   La civilisation et l'agriculture de défrichage examinées EmptyMer 7 Déc à 7:02

!!!


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MessageSujet: Re: La civilisation et l'agriculture de défrichage examinées   La civilisation et l'agriculture de défrichage examinées EmptyJeu 16 Fév à 18:17

L'adresse pour la conférence en agroforesterie est
http://www.plg.ulaval.ca/giraf/coll_2001_liste_conf.html

Celle du message précédent n'était plus accessible.

Le Québec tiendra en juin 2007 une conférence Nord-Américaine sur le sujet: http://www.plg.ulaval.ca/giraf/colloques.html

Aussi,
Douglas, voyant que la permaculture nous intéresse, nous a posté un message rempli de références: Voir les 3 premières réponses à Alternatives agricoles dont la dernière qui regroupe plusieurs ressources en agroforesterie.

Enfin,
quand Mickael tu dis:

Citation :
Comment ne pas croire à l'agroforesterie? la crainte du long terme peut être.

J'aimerais mieux comprendre, si tu peux préciser.
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Babydole123
participant-e



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MessageSujet: Merci   La civilisation et l'agriculture de défrichage examinées EmptyJeu 3 Sep à 3:02

Merci de votre solution


que des informations détaillées


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